Cellule n° 4538 : Elisha Cornwell

Elle sentit la douleur avant même d'ouvrir les yeux. Pas encore tout à fait réveillée, elle était déjà dans un brouillard pas possible, à la fois à cause du gaz envoyé dans la salle de cantine, mais surtout à cause de la balle tirée à bout portant dans son épaule par un gardien. Elle se rappelait petit à petit la scène de révolte des Defictis, les gardiens tués, Franck qui la draguait...

Elisha ouvrit les yeux mais les referma aussitôt. La douleur lui vrillait les tempes. Elle tenta de bouger un bras, mais une douleur lanscinante la fit grogner. C'était le bras blessé. Elle ouvrit les yeux pour de bon, malgré la lumière qui coulait à flots dans sa cellule et regarda son bras. Son épaule était bandée, sans doute par un médecin, et une petite tâche écarlate fleurissait dessus. Elle n'avait pas tout à fait cicatrisé. Elisha promena son regard autour d'elle, sans bouger, et elle en vint tout naturellement à regarder la porte de sa cellule, grande ouverte comme d'habitude. D'ailleurs, une main apparut et frappa quelques coups sur le montant de la porte, sans doute par pure habitude. Cette odeur... Elle la reconnaissait. C'était celle de Callahan. Il venait sans doute prendre de ses nouvelles.

"Entre..."

La Defictis se redressa en grimaçant, essayant de se donner un minimum de contenance. Elle n'aimait pas montrer ses faiblesses.

Une main velus poussa la porte. Francis avait tout fait retrouver sa forme humaine. Le somonifère avait du relentir la changement d'éta, car cela prenait plus de temps. Naturellement en deux jours, Francis était normale, mais là ça avait pris presquet tout une semaine.

Il était venu la voire chaque jour après qu'on l'est remise en cellule. Elle avait dans le coma pendant plusieurs jours. Chaque jour c'était la même routine, il se levait, se lavais, mangeait à la cantine, prenait un plateau en plus et l'apportait à Elisha. Il congait, pour voir si il était réveillé puis entrait. Il restait à son chevet. Lui parlant, de son adaptation, de comment sa réputation de Hard Frank se faisait connaitre parmis les prisonniers.

Franl se demandait pourquoi elle tardait à se reveiller. Les médécins avait-ils voulaient endormir la louve pendant quelque temps.

"La granbe méchante louve aux bois dormant s'est réveiller?"

Il entra avec le plateau. Aujourd'hui pour le petit dèj: une espèche de gruau. Bof, le goût était ce qui avait de meiux, mais c'était meilleur que la bouffe qu'avait mangé Frank à l'académie de police. Il déposa la plateau et ala près d'elle. Il lui tendit ses gachets anti-douleurs.

"Tiens prend ça."

Il sourit, mentrait ses caninces. Frank fesait presque peur. Justement il fesait exprès de sourir, pour foutre la trouille aux gens

"Mignon hein?"

Elisha fut soulagée de voir que son instinct ne l'avait pas trompée. C'était bon signe. Elle ignorait combien de temps elle était restée dans les vapes, il faudrait qu'elle pose la question à Franck. Pour l'heure, ce dernier lui avait apporté un plateau sur lequel était posé un bol de gruau peu râgoutant, mais elle se jeta néanmoins dessus avec appétit.

"Merci, Franck."

Elle prit les médicaments qu'il lui tendait et les goba d'un coup avec un peu d'eau. Il lui sourit, et elle ne put s'empêcher d'éclater de rire malgré la douleur. Ses crocs... Il était vraiment marrant, comme ça. Pour le taquiner, elle lui lança :

"Ca te va bien, je trouve..."

Bien, elle plaisantait, preuve que ça allait mieux, non ? Elle prit une bouchée de gruau et reposa la cuillère dans le bol. Elle avait faim mais les quelques cuillères qu'elle avait ingéré lui avaient suffit.

Elle semblait aller mieux, cela rassurait Frank. Mais elle mangeait peu, ça c'était pas bon, surtout dans son état. Bon peu-être qu'elle avait pas faim. Ellle si belle ainsi dans la demi obscurité. Frank, à la fin de l'une, de ses viste l'avait embrass sur la bouche. Frank se demandait si elle les poils de panthère sur le coin de sa bouche.

"Tu te sent mieux. Entouqua il t'a pas loupé, ce salaud. Je me demade ce qu'il t'on fait pour que tu sois autant dans les vapes, comme ça.Tu a resté toute la semaine dans le coma."

Il lui caressa l'avant bras, sa peau était très douce, on crorait de la soie,Cela était était étonnant de constaté qu'une peau si douce puisse devenir recouverte de poils de drue. Oui, Elisha avait un beau pelage, du fait de la géntique et du fait qu'elle faisait pas attaché. Faut dire qu'elle avait pas trop le temps de s'occuper de son poil en tranformation, qui durait pas longtemps.é Franis, lui avait de faire sa toillette.

"Alors, comment Louloute endure la dernier journée de la saison des amours?"

Une semaine ! Elle était restée une semaine dans les vapes ?! Pourtant, elle était encore si fatiguée... A la question de Franck, elle sourit. Elle supportait plutôt bien cette dernière journée, sans doute grâce à sa fatigue et à son long sommeil forcé. Elle voulut hausser les épaules, ce qui lui arracha une légère grimace.

"Ca va... Louloute est assez fatiguée, en fait."

Elle sourit et poursuivit :

"Mais peut-être que ton petit Chaton pourrait la réveiller..."

Elle plaisantait à moitié seulement. L'appel de la reproduction s'était fait plus fort qu'avant, cette fois-ci, et si elle n'avait pas été forcée de jouer à la Belle au Bois Dormant pendant une semaine, elle serait déjà passée à la casserole avec Franck. Mais en l'occurence, elle pensait être trop faible pour arriver à faire quoi que ce soit, bien que l'envie soit présente.

Il passa sa main sur son épauqle. Il la massa un peu, parceque ça allait lui du bien aussi pour allumer l'ambiance. Même si il elle pourrait rien faire, Frank voulait la faire baver. C'était un peu méchant d'aguicher un malade, mais bon, les infirmiers sexy fesaient à longueur de journée,certes inconsciement, mais elles le faisaient.

"Tu est sur de voire le tigre en attaque?"

Il fit la glisser sa main vers ses cuisses, la caresant un peu. Puis il passa sa main sur sa joue.

"Tourne toi, je vais te masser, ça va t'aider avec ton dos."

Il la retourna et commença à la masser.iIl massait, mais la massait en fontion de l'exiter. Ses mains passèrent dans les endroits où Elisga amerait bien se faire caresser. Aussi, il l respirait fort et proche d'elle. Leur étaient très proche. Puis il arrêta de la massait et retourna s'assoir. Il attendti sa réaction. Allait-elle lui sauter dessus?

"Je pense que ça vas te faire du bien."