La cantine en urgence

Une amie fit signe à Cannelle. il se dirigea vers elle. Et ne vit pas Kashi qui s'écroulait lamentablement. de toute facon, il ne pourrait rien y faire...
Il était obnubilé par une autre défectis se trémoussait devant les gardiens qui bavaient (lui aussi d'ailleurs). Cannelle la regarda quelques secondes, mais son amie l'attrappa par le bras et l'arracha contre son gré à ce merveilleux spectacle.

[Comme je pars pendant 10 jours, je m'éloigne de vous pour que vous puissiez continuer sans moi ^_^"]

" Un peu de silence là dedans ! "

Le gardien ayant parlé les regarda tour à tour chacun d'entre eux. Il réhaussa le canon de son arme à hauteur du torax, sans en viser particulièrement un. Le canon passa sur chaque personne réunie. Il sourit.
Au moindre geste il sut que la détente serait effleurée. Les mutants n'auraient donc qu'à ne pas faire les zouaves face à lui. Les autres gardiens l'imitèrent quelques secondes après, d'abord interloqués par le geste de celui ci. Les regards étaient tantot peureux, tantot emprunt d'une haine sans limite. Combien de ces pauvres choses aurait voulut l'étriper lui et ses confrères ? Surement tous, mais ils ne pouvaient rien faire si ce n'est attendre que le peu de vie privée qui leur restait dans leur cellule soit mise à mal. C'était bien la première fois qu'une chose pareil se produisait, enfin à une aussi grande échelle. Des fouilles de cellules il y en avait déja eu, mais jamais toute en même temps. Un sourire plus que cruel se dessina sur son visage, il aurait tout donné pour voir ce que le coupable de ce larsin allait prendre... Tahar ne lui ferait surement pas de cadeau à cet abruti !

[ HJ : Edit by Admin : N'oublier pas que c'est 6 lignes minimum ... ]

Alors qu'elle pensait pouvoir agir tranquilement; un gardien vint tout arrêter en menaçant tout le monde de son canon affichant son sourire cruelle. Lucynda avait toujours l'attention des autres gardiens mais si elle s'approchait d'eux dans de telles circonstance elle risquait encore plus de problème alors il faudrait qu'elle se batte avec eux et cela elle ne le pouvait pas vu qu'elle ne pouvait pas devenir métamorphe dangereuse.
Lucynda observa les autres de son groupe qui d'un coup cessèrent de parler bien obligé de se taire et d'obéir a l'autre gugusse en rute.
La jeune femme recula alors et scruta l'horizon avant de trouver Alycia.
Alors elle s'approcha d'elle tout en lui sucurant "Negatif" au creux de l'oreille. Elle se tourna ensuite vers les autres avant de leur dire bonjour d'une voix totalement idiote et enfantine.

- Salut tout ceux que je connais pas, moi c'est Luncynda defictis Méta de ce superbe hôtel

Un petit rire s'afficha sur les lèvres de la demoiselle faisant rire en même temps Alycia et faisant perdre définitivement son sourire au gardien qui n'était autre que celui qui l'avait ramené du gouffre.

D'un pas traînant, Elisha arriva enfin dans la salle de repas. Elle avait été tirée de son sommeil par la sonnerie indiquant qu'il fallait se rendre à la cantine. Cela l'avait tout d'abord surprise, ce n'était pas l'heure de manger ! Mais finalement, un message avait retenti pour annoncer que tous les prisonniers étaient attendus en salle de repas pour cause de fouille des cellules. Apparemment, un petit c** avait chipé un trousseau de clefs. Comme c'était pitoyable ! Celui qui avait fait ça ne savait donc pas qu'il était impossible de fuir cet endroit ?
Elisha arriva avec les autres mais se mit rapidement à l'écart. Elle n'avait pas envie de se faire remarquer, après tout elle était solitaire comme le loup et n'aimait pas la foule. Un murmure sortit de sa bouche aux lèvres entrouvertes.

"Quelle belle c*nnerie !"

Elle s'adossa à un mur, laissant son regard vaguer sur les autres occupants. Peu de gardiens, comparé au grand nombre de Defictis présents. Mais bon... Rien d'"inhabituel... Elle espérait que personne ne vienne lui adresser la parole, mais visiblement ce n'était pas le cas, car quelqu'un approchait...

" Et ceux qui n'ont aucune envie de te connaître ? "

La voix vint des derniers rangs des mutants. Un ton railleur, moqueur et indiscutablement effronté. Féminin, aussi. Certains se retournèrent tandis que d'autres se poussèrent sur les côtés afin que Lucynda put observer celle qui parla ouvertement. Sans réelle volonté de création ils formèrent une allée bordée de détenus entre les deux femmes. Certains des gardiens tournèrent leur attention vers elle.

Elle. Une jeune femme d'une trentaine d'années aux cheveux d'ébène et au regard de jais. Un épiderme en manque de soleil. Un visage presque anguleux s'il n'y avait eu ces formes arrondies et plaisantes à la vue. On devinait facilement que si elle se trouvait dans un état de maigreur, les lignes de son corps auraient pu être des arêtes vives. Assise sur une table entre deux chaises, les jambes croisées, une parure d'Eve l'habillait. Ses longs cheveux retombaient sur ses épaules et jusqu'au delà de la nuque, au milieu du dos. Un cigare dans la main elle le porta à ses lèvres, celui ci brûlant depuis quelques secondes et dégageant une odeur peu habituelle pour des prisonniers. Depuis combien de temps n'avaient-ils l'occasion de fumer ?

Elle sourit. Cette femme eut beau se pavaner devant les gardiens la mutante du reconnaître que le talent fit défaut en plusieurs occasions à la demoiselle dénommée Lucynda. Des cours particuliers seraient nécessaires...
Cythérée détourna son regard lors de l'arrivée d'une jeune femme. Le nombre d'hommes et de femmes était à peu près égal, pour l'instant. Un peu plus d'homme. Cinquante pour cents et des poussières contre quarante et quelques pour les femmes.

Mirahil est silencieuse, un peu triste aussi. Elle ne peut pas sortir alors elle se met a murmurer la poésie si connu de Rimbaud. Inlassablement elle murmure, triste à en mourir. Sachant pertinament qu'ainsi elle brise le coeur de Kashi. Mais Kashi à l'habitude alors elle rassemble son courage et se relève. Comme a chaque fois que Mirahil essaye de venir ou y arrive elle sait plus qu'à la coutume. Elle sait qui à la clé et la regarda avec une légère sauvagerie derrière le rideau de ses larmes.

"Non ce n'est pas Luncynda, c'est Lucynda."

Elle était entre elle et Cythérée et quand le couloir se créa, Kashi ne bougea pas. Elle était perdu dans les méandres de sa tête. Mirahil jouait sans vraimet sans rendre compte avec son coeur. Soudain Mirahil commenca a parler et Kashi la laissa faire car elle adorait ce poème :

"Souvent, pour s'amuser, les hommes d'équipage
Prennent des albatros, vastes oiseaux des mers,
Qui suivent, indolents compagnons de voyage,
Le navire glissant sur les gouffres amers.

A peine les ont-ils déposés sur les planches,
Que ces rois de l'azur, maladroits et honteux,
Laissent piteusement leurs grandes ailes blanches
Comme des avirons traîner à côté d'eux.

Ce voyageur ailé, comme il est gauche et veule!
Lui, naguère si beau, qu'il est comique et laid!
L'un agace son bec avec un brûle-gueule,
L'autre mime, en boitant, l'infirme qui volait!

Le Poète est semblable au prince des nuées
Qui hante la tempête et se rit de l'archer
Exilé sur le sol au milieu des huées,
Ses ailes de géant l'empêchent de marcher."

On entendait que sa voix, son murmure. Les déficis suivaient du regard ces trois femmes. Lucynda et Cythére s'affrontant du regard et Kashi entre les deux avec sa voix grave et belle de vampire. Son murmure prit toute la salle avant de s'étendre, et là recommenca le bruit. Celui des pas des déficis, des gardiens et de leurs ordres. Mais Kashi n'était plus vraiment la, ses larmes avaient cessé de couler ....

Meister avait suivi les discussions, étant refroidit par le mauvais acceuil recu par sa proposition, au moins il avait sa réponse....
S'il voulait fuir, il ne pourrait compter que sur lui-même...

Il observa, amusé, le manège de Lucynda, regretant de ne pas avoir d'appareil photo pour immortaliser cela ...

Le poême l'ému profondement, il profita de ce que l'attention portée sur kashi soit un peu retombée pour se glisser près d'elle.

" Salut, je ne crois pas que nous ayons été présentés, je m'appelle Meister. Nous somme dans un charmant camp de vacance n'est ce pas, les animateur me semble pourtant tendus, plaisanta-t-il"

Frank en avait plus que marre d'être ici. Qu'on trouve où plus sacrant ce foutu trousseuz de clés et qu'on lui fiche la paix. Il écouta la poème. Bon il allait devoir se tapper une petite poètesse de bas fonds, c'était fond. Frank ne détestait la poésie, c'est juste qu'y fallait pas lui faire entendre des rimes à la con pendant qu'il était en rogne. Il regarda la poète, elle été chanceuse. Elle était jeune, encore jolie et il y avait des gardiens, car sinon Frank lui aurait coller une baffe.

L'autre morveux tenta de faire de l'humou. Bon un petit comique en plus! Il allait nous chirer les pomps avec ses blagues à deux ballles pour détendre l'atmophère.

"C'est loin d'être une joyeuse colonie de vacances, petit.C'est l'enfer ici et la loi de plus fort y règne. Ici on t'a enfermé parcque on veut plus de toi. Ça mérite même pas de s'appeller une prison, car plus de la moité de ceux qui sont ici ne le mérite pas. Cette prison devrait être rempli de pourriture,mais non c'est nous qu'on met. Tu connais la
Soah, petit? Et ben, je peut te dire qu'on va subir la même sort que ceux qu'on a mit à Auschwitz."

Il alla voir la fille au cheveux aux court adossé aux mur, enfin un personne qui semblait avoir la même vison que lui.L'attitude de la jeune femme trahissait ses pensées.

"Fait chier pas vrai? On souffre pour une connerie d'un autre? De tout ma vie, j'ai jamais rien vu des choses de si con.J'ai vu des voleurs encerclés tenter de fuir, des tueurs armés de couteux tenter de butter des policiesr avec des flingues, mais jamais j'ai vu quelque chose aussi dérisoire,"

Il sortit son paquet de cigarette. Il n'avait fumé depuis quatres ans, mais bon à quoi se soucier de ses poumons. Il alluma la cirarette, prit une bouffé et cracha la fumé. Il se foutait bien que la fille à coté de lui tolère pas la fumé ou non, c'était pas son problème.


[HRP]Edit by Akeron :
Le cadre du jeu se déroule en l'an 3500, je doute que ton personnage sache que la Shoah a existé de même qu'Auschwitz. Sauf si c'est un grand historien, là j'dis pas

Elisha écouta l'inconnu lui parler sans rien dire. Il avait raison, c'était vraiment une belle c*nnerie, tout ça. Sans lui lancer le moindre regard, elle déclara au bout d'un long moment :

"Tu me dépannes une clope ?"

Fumer... Elle qui avait toujours vécu ici avait prit très jeune cette sale habitude. Elle devait avoir huit ou dix ans lorsqu'elle tira sa première latte. C'était si loin maintenant...

Au bout d'un moment, Elisha se décida enfin à se tourner vers celui qui avait décidé de venir lui tenir compagnie malgré elle, et elle se suprit à le détailler longuement. Autant le dire tout de suite, il ne l'attirait pas. Et puis de toute façon, jamais personne ne l'avait attirée, du moins si tel n'était pas le cas, elle n'avait pas le moindre souvenir... Les médecins avaient bien essayé de la "croiser" comme sa mère avec des animaux, mais rien à faire. Elle les avait tous déchiquetés sans la moindre pitié.

Comment s'appelait-il, déjà, ce gars qui semblait si détaché ? Impossible pour elle de s'en rappeler. Pourtant, elle avait toujours eu une excellente mémoire. Dans le doute, elle lui posa carrément la question. Après tout, pourquoi avoir sa langue dans sa poche ? Le but d'une bouche, des lèvres et des cordes vocales, c'est bien de permettre la communication, non ?

"Comment tu t'appelles, déjà ? Moi c'est Elisha..."

Elle restait toutefois froide, distante, une jeune femme décalée, pas vraiment déconnectée de la réalité, plutôt si ancrée dans celle-ci qu'elle cherche à la fuir par tous les moyens. Et la cigarette qu'elle avait demandé à son compagnon d'infortune était après tout un moyen comme un autre...

Kashi regarda Meister, celui qui lui avait fait comme peur tout à l'heure avec ses idées de rebellion.

"Les gardiens ont raison d'être tendu ... A Aushwitz il n'y avait aucune raison pour enfermer les juifs, les handicapés et les tziganes. Nous nous ne sommes étrange et si certain d'entre nous n'ont aucune raison d'être en prison, d'autres si. On ne m'a pas enfermé parcequ'on ne voulait plus de moi, on m'a enfermé parce que je les voulu."

Sa voix avait été de marbre, dure et profonde. Il n'y avait plus la touche de Mirahil. Kashi avait parlé avec toute sa volonté. Elle avait choisi la mort et on lui avait proposé la vie. Une vie où elle ne tuerais plus, une vie où elle aurait moins peur. Loin de son existence où chaques secondes étaient sanglots ou sang. On lui avait donné la possibilité d'enfermer Mirahil et elle avait choisi la prison. Elle était damné pour sa...

Ce moment lui était vague, elle ne savait pas comment elle s'y était pris ni comment elle y était arrivée. Les infirmiers lui avaient en partie effacé la mémoire. Elle n'avait le souvenir que de sang et de murmures. Rien d'autres. Mais elle savait autant qu'elle savait quelle heure il était.

"Francis, ils ne nous tueront pas. ils savent que plusieurs d'entre nous seront mis au courant grace à leur pouvoirs. Ils savent qu'avant la mise à mort nous seront tous prêt à mourir plus que tout pour la survie. La liberté est une raison de mourir mais on est consciend de ce qu'on risque. L'instinct de survie est plus fort car il nous enlève toute raison. Les gardiens ont peur de nos puissances et de nos différence. Les SS n'avaient pas peur des juifs ni des tziganes. les gardiens savent que nous sauront, c'est pour sa que jamais ils n'oseront agir."

Ce n'était que pure logique, la voix était un peu froide. Kashi n'était que raison et ses mots étaient tout droit sorti de son sombre cerveau. Elle savait la terreur qu'elle pouvait souffler en quelques secondes aux gardiens. mais la question n'était pas celle de Mirahil mais plutôt celle de son choix. Prefererait-elle la mort ou la liberté ? Sans doute la mort ....

(et si je dis que Francis vient d'un irlandias juif? ces gens oublierien.)
Frank fila une cirgarette à la brunette puis il éclata d'un rire cyniquye en entendant ce qu'elle disait.

"C'est beau la jeunesse, pas vrai? Tant d'innoncence. Tu crois vraiment qu'ils ont réellement peur de nous? Tu a vu leur armes? Néancrya est bien équiper question defénse. Je sais de quoi je parle, j'était dans la police avant et on parlais que de ça entre collèque. Je me suis arrêté juste parceque j'était Défectis. Personne n'as voulu ête ici apart toi. Je vais te dire un truc la poètesse de quatre sous, dès qu'il auront le moyen de nous tuez tous, ils le feronts, croit moi il le feront. Mon père était féru d'histoire et il m'avait dit que les anglais avaient déporét des gens par peur. Je vais t'apprendre un truc, ce n'est pas la peur qui empêche les gens de tuer, c'est la peur qui pousse les gens à tuer. Pourquoi tu pense qu'on est ici? Ils nous entasse tous au même endroit et un moment donné tout saute,boum! Tu crois réellement qu'il nous laisser vivre? Non, il nous tueront dès qu'il le pourront. Peu-être qu'il nous enverron un bonne bombe atomique sur la gueule.

Savoir qu'on sait qu'ils vont nous tuer, leur est indifférent. Ils savent très bien qu'on peut rien faire contre. On tente une rébellion et bang, on se prent un balle dans la tête.""

Il prit une bouffé. Il réalisa que cette petite l'avait appellé francis. Il avait dit son nom à personne ici. Merde, il était tombé sur une petite télépathe.

"Encore une chose,gamine, fouille encore dans mon esprit et t'aurais point sur la gueule.J."

Il entendit quelqu'un poussé une exclamation. Mais quoi? Frank avait tuers des gens de sang froid. Alors il allait se gêner à tapper une gamine si elle le cherchait. Frank frappait n'avait de gène à frapper qui ce soit. Un tarré est un tarré, qu'il sois noir, blanc, jaune, gros,petit, jeune ou vieux. Frank n'avait pas de tenu à frapper qui ce soit. Il aimait pas tappé les gens, ni ne controlait pas sa colère. Il avait juste aucune inhibition. Tout voulait un jour ou l'autre foutre une baffe à quelq'un, mais se retenait, Frank lui se retenait pas.

(mdr, comprend mieu !!!)

Kashi s'était immobilisé. Ses yeux occillaient entre le noir et le marron. Francis n'avait pas la même vision des choses, mais ce n'était pas cela qui était grave, non c'était sa facon de lui parler ... sa facon de rire aussi. Kashi était des plus susceptible. Elle sentait sa colère venir en elle, elle sentat Mirahil qui attendait. Elle sentait qu'elle ne devait pas se lassé prendre par les mots de Francis. Il l'appelait petite, il la traiatait en gamine. C'est vrai qu'elle était jeune en age. Mais ses yeux avaient vus bien des massacres et son coeur s'était plus d'une fois brisé devant des scènes sanglantes. Elle n'était jeune qu'en apparence, et c'est pour sa qu'elle se détourna et commenca à marcher.

"Encore une chose,gamine, fouille encore dans mon esprit et t'aurais point sur la gueule..."

Kashi aurait pu continuer et s'en aller, partir loin pour ne plus l'entendre. Mais elle n'était pas seule, il y avait ses voix dans sa tête, SA voix. Hors Mirahil haissait qu'on lui parle ainsi, Mirahil n'était pas naive innocente et gentille comme Kashi. Non ....

On vit Kashi se retourner, elle semblait différente. Ses yeux étaient aussi sombre qu'étaient blanche ses dents. Si ... pointues. Elle fixait Francis comme s'il n'était qu'une victime, qu'un être faible et fragile. La femme charismatique n'était plus qu'un prédateur. Un être qui savait n'évait que peu de temps car les médicaments essayaient de la retenir. Un être qui avait parlé peu de temps avant sur des vers de Baudelaire. Sombre ombre de Kashi, sombre vampire. Elle n'avait que quelques secondes, et en se retournant elle feula, comme ces chats mécontents. Elle n'eut le temps de dire que quelques mots en se rapprochant jusqu'à les lui murmurer à l'oreille.

"Francis n'invite pas le diable à ta table, car c'est toi qui en sera le met. kashi n'est pas télépathe et moi je ne suis pas de celle qui accepte les insultes et les points sur la geule si tu voit ce que je veut dire."

Mirahil se recula, comme obligée. Elle ne revait que de tuer l'homme, de boire son sang jusqu'à la dernière goutte mais kashi la tenait, les médicaments aidant. Ses yeux changeaient de couleur aussi vite qu'une girouette par temps de grand vent. Marrons clais, sombres, noirs, clairs .... Mirahil sombrait. La jeune femme avait desormais la tête baissé, ses yeux se revulsait et elle était agité de très legers tremblements. Quand elle releva sa tête, ses yeux clairs brillèrent. Elle paraissait de nouveau faible et sans force.

"Entre prédateur vous vous entendez."

Elle se retourna après avoir lancé un drole de regard sur Francis. Elle savait pourquoi Mirahil avait préféré ne pas se servir des quelques secondes qu'elle avait pour ne pas le tuer...

La transformation n'avait duré que quelques secondes. Kashi regarda les gardiens. Avaient-ils vus ? Elle ne tarderais pas de la savoir. si oui ils debouleraient surment pour lui administré des médicaments qui la rendrait molle et sans vie ou ils l'endormiraient. Ils auraient peur aussi. Les médicaments étaient peut-être pas assez forts, peut-être trop léger mais en tout cas ils ne fesaient plus completement effet. La voix de Mirahil s'était tus, Kashi encore pale se tenait droite, marchant, s'éloignant de l'homme qui savait reveiller la vampire. Elle se maitrisait desormais et plus aucun de ses gestes n'étaient la vampire.

Frank regarda la jeune schizophrène. Elle pensait réellment qu'elle lui fesait peur? Il avait pire. Il avait vu des types armé jusqu'au dents, des jeunes métatd devenu cannibales et il les avaient tous. C'était une gamine schizo qui peut se transformer en vampire. Il prit une bouffé de sa cirgarette. En plus, mainteant Frank pouvait utiliser ses pouvoirs et il pouvait être très féroce. Y ne fallait pas réveiller le tigre en lui.

Il croisa le regard de Kashi avec un regard détermier, comme pour monter qu'il n'avait peur d'elle. Il la défia du regard? Allait-elle prendre le risque de se battre avec lui et d'éffrayer les gardiens? Francis ne déclencherait pas les hostilité. Non si il ne faisait que se défendre, les gardiens allaient pas ête dure.

"Ouais ouais, tu va me tuer en deuux secondes et je suis une pauvre minalbe, je connais la routine."

Mieux fallait la laisser filler, c'était une gamine après tout. Frank regarda autour de lui, Bon ils avaientd trouver leurs clefs? Frank commencait en avoir mal d'être ici."

Tahar avait envoyé le medecin qui avait donné le trousseau aux prisonniers à la cantine, escorté de squatres gardes. Bien sur lorsque ceux-ci entrèrent ce ne furent pour les Défictis que d'autres geoliers en plus dans la salle.

Une fois les clé remit, le medecin était revenu dans son bureau pour lui parler de deux ou trois choses... comment cet imbécile de scientifique pouvait prétendre lui dire que faire ou ne pas faire dans son pénitentier ? Qu'importe, de toute façon il allait le payer.

Ce regroupement avait été trés amusent pour Tahar, aprés tout les prisoniers se trouvait rarement tous au même endroit, ils étaient souvent éparpilliés dans la prison ou dans leurs cellules. Bien sûre ses gardiens, en fait ne fouillait pas les cellules, puisque les clés étaient à la cantine entre les main d'une joli Défictis. Franchement, est-ce que ces idiots le croyait né de la dernière pluie ? Personne ne se serait laisser berné par ce simulacre de dispute ... Mais son attention fut retenu quelques instants par la discussions de plusieurs autres personnes. Il sourit, finalement c'était bien que quelques uns d'entre eux se souvienne de l'ancienne histoire, celle d'avant l'apocalypse mais bon cela ne leur servirait pas à grand chose.

Son attention revint sur le médecin, il était trés nerveux, tant mieux, cela allait lui faciliter la tâche.

Il saisit à nouveaux le micro afin de délivrer un nouveaux message... enfin un nouveau mensonge, serait un terme plus approprié.

" La fouille des cellules est presque fini et rien n'a été trouvé. "
Il espérait ne pas avoir trop effrayé ces pauvres choses avec le malades qu'il avait demandé d'ammener. En fait ce n'était qu'un défectis qui avait eu une simple ingestion... mais ça plus les médicaments, ça n'avait pas fait trés bon ménage ! Enfin, il était soigné, mais ça les autres ne le savait pas et c'était exactement ce qu'il voulait que les prissoniers pensent que c'étaient les scientiques qui avait fait ça !

" Je peux vous garantir que vous ne serez pas tranquille tant qu'on ne l'auras pas retrouver ! " Sa voix s'était cruelle et encore plus froide si cela était encore possible. Il avait vu tout les manèges de charme, ou de tentaive pour convaincre les détenus de tenter quelque chose, n'importe quoi ... mais rien de s'était passé ... Dommage !

" Vous allez être separé en deux groupe de chaque coté du réfectoire.... non en trois groupes, plutôt, ce sera mieux. "
Certains prisonniers prirent les devant en se déplaçant sans histoires. Deux des gardiens qui avait escorter le médecin-traitre avait des consignes spéciales.
Les premiers s'était rapprocher de Lucynda durant le discour de Tahar. Lorsque que celui-ci parla de former des groupes il n'attendit même pas un demi-seconde pour frapper violemment la Défictis qui fut projeter au sol, presque inconsciente. Le deuxième gardien vint alors l'aider à la relever pour la mettre dans l'un des groupe et ... des clés tombèrent au sol...
Lorsque le bruit mettalique retentit sur le sol de la cantine, le silence se fit. Tous avait les yeux tourné sur la jeune femme à demi-consciente encadrer par les deux gardes aux sourires satisfaits.

Lucynda fut lacher et pu un peu se remettre pendant que les deux autres gardiens allaient debusquer Aleksei et Alycia dans le groupe où ils s'étaient réfugié. L'un des gardiens jura qu'il avait vu l'enchange de clé entre les deux filles ... ce qui était on ne peux plus faux puisqu'uil n'était pas dans la pièce au moment des faits. Qu'importe, qui pouvait le dire à par Tahar ? Tous les gardiens avaient la même apparence ce qui rendait parfois bien des service ! Et puis Alek ne pouvait être que complice puisqu'Alycia venait de sa cellule ... CQFD !

Un silence de mort régnait maitnenant dans la pièce. Trois groupes bien distinct et au millieux les gardes avec les trois coupable à genoux.

[ Edit pour Lucinda : si les clés sont ta mains tu les as simplement lacher si elles sont dans une poche ou plus ou moins caché ... les gardiens les a aidé à tomber ^^ ]

[ Explications]

Aleksei avait échangé un ref coup d'oeil avec Alycia et comprit qu'ils pouvaient mettre fin à la mascarade. Il en était soulagé, même s'il avait encore un trop plein de rage en lui qui n'avait qu'une envie : exploser! Pourtant, il se contint et trempé comme une soupe, il rejoignit lui aussi les rangs mais de mavaise grâce. Des nouveaux prisonniers étaient arrivés entre temps... c'est alors que l'homme à la capuche, Tahar, fit son entrée, escortés de gardiens et... du médecin qui avait filé les clés. Le jeune homme se retint de trahir sa colère, il ne voulait pas attirer l'attention.

Tahar se saisit alors du micro et expliqua que rien n'avait été trouvé dans les cellules. Aussitôt un frisson parcourut l'échine du jeune homme, manifestation d'un mauvais pressentiment. Le directeur n'était pas là pour rien... Il passa aux menaces, de sa voix froide et cruelle. Aleksei avait peur... Pas pour lui, mais pour Lucynda qui détenait les clés. Tahar exigea alors qu'ils soient divisés en 3 groupes et il se demanda bien pourquoi. Alors, un gardien frappa violemment Lucynda qui s'effondra au sol. On la ramassa, et des clés tombèrent au sol. un silence formidable s'en suivit. Aleksei avait du se faire violence pour ne pas voler au secours de la Defectis. Mais maintenant...

Maintenant, on l'empoignait sans ménagement pour le conduire au centre de l'attention. Il ne se débattit même pas, se contentant de suivre le gardien avec une nonchalance insolente. Il toisa même du regard les autres, avant qu'on ne le pousse violemment au sol pour le faire se mettre à genoux. Le choc avec le sol dur lui fit serrer les mâchoires. Alycia et Lucynda étaient dans la même position que lui. Comme par hasard, les trois coupables avaient été débusqués. Aleksei ne baissa pas la tête, en signe de soumission, non, il la releva et jeta un regard à tahar, un léger sourire arrogant aux lèvres. Il ne ploierait pas l'échine devant ce pourri...

[Edit : non c'est moi qui ai buggé Kashi T_T mdr]

(Je crois que j'ai un bug ! L'explication m'emmene droit sur hollow dream et les retrouvailles d'elhil et Vincent !!!)


Kashi ne lanca qu'un regard triste à Francis. Mirahil n'était plus la, Kashi n'était pas bagareuse, elle était aussi innofensive que gentille. Entre les deux femmes il n'y avait que peu de ressemblance. Petite schizophrène torturée par ce qu'elle est. Si à l'origine elles se ressemblaient, ce qu'elles avaient souffert les avaient vus réagir complétement différent. Et si Kashi était la dominante ce n'était qu'une passage car autrefois ce n'était pas elle qui maitrisai. Mirahil avait faibli mais il suffisait que Kashi se laisse aller pour devenir de retour un être dominé.

Les gardiens ne l'avaient pas vu se transformés sinon ils lui auraient sautés dessus. Aussi étrange que cela puisse paraitre, elle en était heureuse. Ce qu'elle detestait le plus s'était sentir Mirahil hurler, se battre pour survivre à l'intérieur d'elle. Ni Kashi ni Mirahil n'avait été une création de son esprit, elle s'était naturelllement séparé. Sans Kashi nul Mirahil, sans Mirahil nul Kashi. Ou sinon des êtres brisés.

Les clefs tombèrent au sol avec un bruit rebel dans le silence de la salle. La voix de Tahar était cruel et fier, elle lui rappelait vaguement une voix. mais la jeune schizophrène avait perdu a jamais les images de son arrivée sonore. Les infirmiers les lui avaient enlevés.

Les gardiens la poussèrent violament vers un groupe. Elle n'y jeta aucun regard. Ses yeux étaient tournés vers les trois fautifs. Elle comprenait leur désir de s'enfuir et les regardait tristement. Elle detestait la violence qui avait écho ici. Ses yeux noircirent et elle s'enfonca il y a bien longtemps. Des larmes amères coulèrent de ses joues, frêle gamine dans une prison dorée. Ses souvenirs refluèrent, la perdant dans une léthargie sans fond. Puis soudain elle se sentit bousculée et se retrouva de nouveau dans la cantine. Elle ne secha pas ses larmes qu'elle n'avait pas senti, trop habitué a cette sensation humide.


(Edit : je comprend mieu monsieur elhil ( si je me trompe pas) )

Les fautifs avaient été trouvé, a quoi bon réitérer tout ce que les autres Defictis voyaient, Alek, Alycia et Luncynda étaient a genoux au centre de la pièce.
Pourquoi? a cause de ce directeur remplit de zèle pour ses grands patron. Alycia observa la scène, cette scène! Où son amie fut frappée avec violence par deux gardiens débiles, ce qui fit le plus sensation c'est la chute du trousseau de clé, celui qui était tant recherché.
Alycia eu un sourire mince et même si elle risquait gros,elle ne pouvait pas laisser Lucynda payer pour elle.
Son regard se posa a droite et a gauche sur les autres Defictis qui ne semblaient pas vouloir se mêler de la sale affaire.
Quoi de plus normal de toute facon, car dans cette prison on risque la mort vu les idiots pervers qui sont gardiens.
L'atmosphère était chaude comme la braise, le temps s'arrêta presque sous le rire des gardiens et les regards des medecins brulant d'envie de passer a l'attaque.

Alycia analysa tout ca! Comment avait-il su? comment pouvait-il avoir vu l'échange de clé? le medecin avait parlé? ou alors le medecin savait déjà et avait été envoyé dans cette cellule par pure amusement?
Alycia détourna son regard des autres Defictis avant de le planter dans celui d'un des gardiens qui lui faisait face.
ce regard était haineux et les gardiens se méfiaient d'elle surtout que la demoiselle était trempée.

- Ecoute moi bien, si vous touchez un cheveu de Lucynda vous allez amérement le regretter

Et la chose qui n'était encore jamais arriver, Alycia se mit a rire, un rire sarcastique qui laissa les gardiens un peu "quoi". Avec ce qu'elle risquait pour complicité d'évasion, la defictis n'avait rien a perdre et cela tout le monde le savait, même Tahar qui connaissait bien Alycia.
Un regard inquiét perla en direction de Lucynda ....

Kashi était devant une scène de violence et de haine. Seul ses yeux étaient noirs, de cette couleur qu'elle revetait quand elle était prête à laisser Mirahil se reveiller. Mais Mirahil était loin, tout à l'heure elle avait réussi à se montrer mais les médicaments la tenait sous cage. Elle attendait une scène plus violente que ls autres une provocation.

Alycia les detailla, se rendant compte que la plupart ne l'aiderait pas. Peut-être tous d'ailleurs. Où était celui qui l'appelai gamine ? Nul part. Et ce Meister qui voulait la guerre ? Devant la violence de la scène il n'y avait que des chiens battus habitués à se terrer dans l'ombre. Si Kashi n'était qu'une gamine, Mirahil sentait l'odeur du sang. Sans s'en rendre compte, Kashi se retrouva proche des gardiens. Elle était desormais tous prêt des fautifs. Qu'est-ce qui la poussait à vouloir les aider ? Elle qui était ici par son propre choix, elle qui ne voulait pas s'enfuir. Peut-être n'est-on schizophrène que si tout en nous est contradictoire. Une partie de elle voulait laisser ses gens seuls, une autre partie d'elle voulait les aider et souffrir avec eux si besoin. c'était bien plus compliqué que la séparation kashi/Mirahil. Mais le problème c'était qu'elle partie d'elle se revelerait. Elle ne savait pas.

Kashi fixa du regard la fautive la plus près Alycia, en esperant accroché son regard. Celle-ci menaca les gardiens. Quelques secondes les deux femmes se regardèrent. Kashi essaya par cet échange de lui montrer qu'ils pouvaient comptés sur elle s'il y en avait le besoin. Elle fut poussé par un gardien négligement et du reculer. Mais ces yeux ne changèrent pas de couleur pour autant, elle était prête a bondir au premier signe que lui ferait les fautifs pour les aider si besoin.

Kashi semblait moins faible, mais si prete a se briser que s'en était destabilisant. Si elle aurait à combattre, elle s'en voudrait surement longtemps. Et si elle ne devait rien faire peut-être qu'elle en aurait aussi le regret. La vie est compliqué pour les doubles personnalités quand ils en sont conscient. Sa schizophrénie était cependant assez particulière : elle était deux personnes avec des pouvoirs différents dans un même corps. Et si les larmes coulaient sur ses joues, il était clair que rien ne l'arreterais si on avait besoin d'elle. La violence reveillait en elle bien des souvenirs beaucoup plus sanglants, beaucoup plus cruel mais qui somme toute avait le même fond. Elle attendait ...

Frank regardait la sècne avec un grain de sel. Bon on avait enfin des coupables, ça allaient finir cette histoire bon? Faites leur fair un interrogatoire, faitesx cracher où sont les clefs afin qu'on puisse foutre le camo. Il regarda Elisha, la sele avec qui il avait envie de parler. Elle semblaient ici depuis un bout.

"Vous êtes ici depuis quand."

Il vut la petite schizo regarder la scène. Bon elle s'était calmer? Parceque il avait enfin de défoncer une gamine enragé à grand coup de poing, ou de griffes selon les circontense. Frank vut le visage déchu de certain. Quoi, ils s'imaginaient quoi? Qiu'avec des clés on pouvait sortir d'ici? On était sur un petite planète inhabitable, où il pensait aller? Il fallait piquer un vaiseur pour se tirer et c'était pas avec ces petites clés. Pour pouvoir se tirer y fallait bien penser son plan. Dabord, y fallait pertuber les gardiens,en créant un chaos immense, profiter de la confusion pour se tirer dans un véseau. Y fallait bien connaitre l'endroit pour pouvoir se rendre aux véseau. Une fois dans le vaiseau, y fallait filer tout droit vers le terre et attérir dès que possible. Le mieux était une forêt ou une où il serait difficile de donner la traque. Puis y fallait fuir, disparaitre, ne pas chercher à revoir ses proches pour quelque temps, se faire oublier. Puis là c'était la vrai liberté.Là on pouvait faire payer qui vous avaient enfermés.

Ce plan marcherait, si on le préparait. Tout dabord y fallait pas éveiller les soupçon, faire le bons prisonier soumis.Et puis un jour, bang, on s'évade. Frank allait montrer qu'aucune prison n'est pas bonne. En tous ca,s aucune prison de pierre. Les seuls prisons vraiment efficace sont celles mentale. Si ils voulaient pas qu'on s'évade, y fallait droguer les prisoniers juqu'a qu'ils ne puissent rien faire.

Mais le directeut était trop stupide pour le savoire.

Elisha regarda Franck alors qu'il lui adressait la parole. Tiens, il revenait à elle, maintenant ? Soit... Après tout, malgré son amour pour la solitude, elle se dit qu'un peu de discussion ne pourrait pas lui faire de mal. Et puis, il fallait bien s'occuper en attendant qu'on autorise les prisonniers à retourner dans leur cellule...

"Depuis toujours."

C'était vrai. Elle était née ici, et elle savait pertinemment qu'elle mourrait ici aussi. Elisha détailla son interlocuteur un long moment, sans un mot, et jeta son mégot de cigarette, qu'elle avait fumé presque jusqu'au filtre. Le mégot partit s'écraser dans un coin, contre un mur aussi blanc que le reste de la pièce. Elle cracha la fumée, se perdant un moment dans les volutes blanches qui formaient des dessins étranges, ses démons intérieurs, sans doute. Puis, au bout d'un moment, elle retourna sa question à Callahan.

"Et toi, ça fait combien de temps que t'es là ?"

Pourquoi l'aurait-elle vouvoyé ? Après tout, ils sont tous condamnés à rester ici, alors autant laisser tomber les politesses superflues...
Elisha le trouvait mignon, ce gars face à elle. Pourtant, jamais auparavant elle n'avait été attirée par quelqu'un. Sans doute la solitude lui pesait-elle trop, maintenant. Trente-trois ans enfermée ici, ça vous change une personne...

(C'est le gas en face d'elle déjas?)
Frank cracha un bouffée. Depuis combien il était ici? Pas beacoup de temps, il était arrivé hier. Enfin comment savoir si il était arrivé le jour où la noir sur cette planète? Il cacula les heures.

"Je dirais que ça fait 38 heures. Mais avant j'était dans un autre prison, car j'était en procès. Vu que j'étais un fluic assez connu j'ai eu droit à touit le battage médiatiques. Ça t'étonne de voir un défictis qui était flic? Comment ils m'ont laissé renter? Hé ben je me suis discrêt. Avant je massacre ce sale tueur qu'on avait quitté, personne savait que j'était flic. Le gas que j'ai buté était un fils d'un polictien, donc était bien protégé. Avec mon magnum je aller tuer chez lui, donc j'ai utiliser mes pouvoirs. Je réalise mainteant que c'était un belle connerie. J'aurait l'attendre dans son bar miteux et le fingué aux toilettes, comme ça je serais pas ici. Bof j'aurait été en prsion, mais pas dans celle-ci."


Il regarda le visage de la jeune fille. Il lit un immense solitude, comme lui. Depuis qu'il était tout petit, il se sentait seule. Sa mère était morte, son père bossant tout le temps, Frank avait du s'en sortir seule. Petit, il se sentait à l'aise, il se sentait pas chez lui. Peu-être étais-ce son coté animale qui feisait ça. Son coté panthère aimant le groupe en tant que telle.

Frank ignorait pas pourquoi, mais les autres enfants ne le blairait pas. Le pauvre petit Francis avait été contraint à la solitude pendant une grosse partie scolarité. Privée d'amour et d'affection, Francis avait eu un enfance et un adolescence terrible. Mais il s'était accomodé de cette état, pensant que ça servait à rien de pleurer où de chercher à comblé son vide. Il s'était qu'il trouvai bien un truc pour le rendre heureux.

Son travail avait été son salut.Rendre la justice lui fasait du bien. Il ne vivant que pour son travail, il avait acun amour et aucun ami. Bon il se tappait une fille qui le trouvait à son goût et prenait parfois une cuite les collère, mais on pouvait dire qu'il avait une vie sociale. Francis s'était accomodé de sa solitude.

Mais l'air sur le visage de Elisha était différent de le seule. Un exile peu-être forcé. Pauvre fille, elle avait jamais connu la liberté, jamais connu le souffle du vent, Elle avait connu que ce trou pouris. Pauvre fille.

"Qu'est-ce qui pire entre n'avoir plus de liberté ou avoir jamais connu la liberté?"

Il sentait qu'il alait bien s'entendre avec elle. Il sentait que les esprits étaient semblabe. Peu-être Frank pourrait avoir un compagnon dans sa vie, ça le changerait de la solitude.

[HJ : Ouais, face à elle, à côté... Peu importe, vu qu'elle s'est tournée vers lui ils sont face à face, non?]

Elisha avait écouté avec attention ce que lui avait raconté Franck. Flic... Il avait été flic avant d'être envoyé dans ce trou à rats. Le pauvre, elle ne pouvait s'empêcher de le plaindre, au fond. Il n'avait pas eu de bol, c'était le moins qu'on puisse dire. Ca n'avait pas dû être évident de cacher son côté Defictis en étant dans la police. Combien de fois avait-il dû être tenté d'utiliser son pouvoir dans son boulot ? Mais lui, contrairement à elle, avait déjà vu le Soleil, senti sa chaleur... Elle... Elle ne connaissait que cet endroit sombre et dénué de toute humanité. Un numéro, voilà ce qu'elle était. Les médecins avaient laissé sa mère lui donner un nom, et c'était là son seul aspect humain. Sinon, elle n'était qu'un animal, une bête de foire, sans plus.

Elle sourit à sa question. Qu'est-ce qui était le pire ? Inutile de tergiverser bien longtemps, c'était facile.

"Avoir connu la liberté et en être privé. C'est pire que ne jamais l'avoir connu."

Elle sourit. Pas de ces sourires francs ou ironique, non, un sourire sans sentiment, vidé de toute substance.

"Regarde. Toi tu sais ce que tu as perdu. Moi je ne connais rien de la liberté, toute ma vie est ici. Je n'ai rien à regretter..."

Elle s'approcha de lui, assez près pour lui glisser quelques mots à l'oreille.

"J'ai toujours été seule, et je sens bien que toi aussi, malgré ton ancienne liberté. Tu as toujours été solitaire, comme moi... Comme les loups..."

Inconsciemment ou pas, elle venait un peu de lui dévoiler une part d'elle même. Son côté Defictis voulait sortir. Pas pour tuer, pas pour blesser, pas par rage ou colère, non. Plutôt pour lui dévoiler qui elle était. Une louve solitaire, ou, comme elle le pensait autrefois, une lycanne solitaire...
Ses yeux prirent une teinte bleutée, le marron habituel disparaissant, et elle dut se contenir pour ne pas commencer sa métamorphose. Ce qui la retenait, c'était deux raisons. La première, c'était qu'elle ne pouvait prévoir ses réactions une fois métamorphosée. Allait-elle le dévorer ou bien lui sauter dessus pour une autre raison ? Elle préférait ne pas tenter le Diable. La deuxième raison, bien plus matérielle, était qu'elle n'avait guère envie de se prendre une décharge électrique de la part d'un gardien.

D'ailleurs, en parlant de gardien, l'un d'eux approchait. Elle était trop près de Franck, les gardiens prenaient sûrement ça pour une tentative de rebellion, comme n'importe quel geste d'un Defectis... Avant qu'il ne soit à côté, Elisha murmura ces mots à l'oreille de Callahan :

"On a beaucoup plus de points communs que tu ne le crois..."

Puis elle s'écarta de lui d'un pas afin de continuer la discussion sans provoquer de soupçons de la part des gardiens.

"Ou comme un panthère."

Ses yeux devirent félins , son coté animale était en pleine éfervescence. Qu'est lui arrivait-il? Ça lui était jamais arriver avant. Peut-être le fait avait d'avoir rencontré autre meta. Les seules défictis qu'il avait rencontré dans sa carrière c'était des phénix ou des sanos. Mais là, il rencontre un bête comme lui. Une bête solitaire comme lui. Oui, elle avait raison, ils avaient plusieurs point en commun. Il vu le gardien s’approcher.

"Ça boum?"

Il regarda l’homme dans les yeux avec défis? Frank allait rien faire, alors pourquoi se méfier de lui.

"Craignez pas pour mes yeux, je contrôle très ben mon coté animale. Je peux même faire la causette en métamorphose, je suis un problème quand je suis transformé. J’ai passé toute ma carrière en contrôle mes pouvoirs.Je peux prouver ce que je dis."

Franck ne blaguait pas. Sa mutation lui permettait ça. Quand il était se transformait il était plus un panthères humanoïde, comme un créature fantastique d'un roman, qu’un homme panthère, car il avait toutes les capacités mentale d’un homme pensant. La seule différence était qu’il avait un intinct animale qui était en lui qui influent sur son comportement. Exemple, il convoitait les vaches et autres animaux, ou abordait plus les filles quand il était en ruth.

Il revint à Elisha. Il regarda ses yeux qui devenaient bleu. Ces yeux, ils étaient si intenses. Il la regarda un peu. Elle était assez jolie. Frank se demandait comme une si jolie fille ne se faisait pas reluquer pas tous les mecs de la prison. D’ailleurs on avait surment tenter de la violer. Soit elle se défendait bien sois les gardiens matait les violeurs. Car Frank voyait qu’on l’avait bien violer, car il savait très bien comment le remarquer, ayant côtoyé plusieurs violés dans sa carrières. On pouvait lire la même lueur dans les yeux des femmes violés, la lueur d’un souvenir tragique. Cette lueur était pas dans le regard de la brune.

"Dis moi, des mecs t’on déjas approcher& Je veux dire, une jolie fille comme toi d’avoir s’être fait dragué par des gas en manque. Ou bien d’autres filles apaise les tensions sexuelle ont offrant leur charmes en échange de quelques remunérations. Ça se fait dans certaines prisons, des mecs s’habillent en femme et se prostitue. Tu sais comment ça marche ici les relations entres les détenus femmes et hommes. Parce que je connais pas beaucoup les prisons mixtes."

Le gardiens avait vu deux des Défictis qui selon lui se détachait des autres, d'abordparce qu'ils étaient en train de discuter avec un air assez ... intime. Et puis lorsqu'il se rapprocha, il ne fut pas déçu, les meilleurs renseignements étaient payés un bon prix et là il entendit parler de viol... si ça avait été le cas, que ce soit un prisonnier ou un gardien, il passerait entre les main de Tahar en personne. Et tous ceux qui étaient passer entre ses mains n'avaient simplement jamais réapparut ! Certains dissaient qu'ils avaient simplement été virer du pénitentier et d'autres que le directeur avait fait disparaître les corps dans la lave ... ce qui connaissait Tahar était fort possible.

Les prisonniers s'étaient quelques peu séparé mais ils continaient tout de même de discuter... quelle aubaine ! Bien sur le regard du garde ne se posait que rarement sur les deux individus et lorsqu'il le faisait, c'était avec des yeux noirs de reproches. Mais dans le fond quoi de mieux qu'une agréable petite prime à la fin du mois ! Même s'il n'y avait pas grand chose qu'on puisse acheter ici... peut être lui accorderait-on l'avantge de choisir son service, comme ça il ne serait plus obliger d'être avec ces horrible, il patrouillerait dans le labo...